Il fut un temps où la plupart des écoles étaient équipées de babillards en liège pour afficher les œuvres des enfants et autre. Heureusement, cette époque est révolue. Il est maintenant possible d'afficher les réalisations des élèves sans épingles, agrafes, punaises ou autres objets tranchants. Ce système est sécuritaire pour tous, même les plus jeunes... et il n'y a plus de liège où il est possible de gribouiller. Une solution facile, propre et sécuritaire.
Il fut un temps où la plupart des écoles étaient équipées de babillards en liège pour afficher les œuvres des enfants et autre. Heureusement, cette époque est révolue. Il est maintenant possible d'afficher les réalisations des élèves sans épingles, agrafes, punaises ou autres objets tranchants. Ce système est sécuritaire pour tous, même les plus jeunes... et il n'y a plus de liège où il est possible de gribouiller. Une solution facile, propre et sécuritaire.
Nos enfants débordent de créativité et c’est tant mieux, mais lorsqu’ils nous offrent un énième bricolage ou dessin, on se demande souvent où on pourra bien l’accrocher celui-là, et ce, bien quoi soit bouchée bée devant tant de talent! Vous vous reconnaissez dans ce résumé?
En tant que parents, nous sommes très fiers de nos enfants et nous voulons les encourager à développer leur créativité, mais du même coup, on se demande où ira ce nouveau chef-d’œuvre. La devanture du réfrigérateur est déjà recouverte de dessins et il est hors de question d’utiliser du ruban adhésif sur les murs. Il reste l’option du babillard, mais les punaises et autres objets coupants pourraient représenter un danger pour les touts petits. Mais comment donc mettre les dessins et bricolages d’enfants en évidence?
Combien de fois a-t-on dit, ou a-t-on entendu dire : eh bien, les temps ont bien changé ! Il s’agit d’une expression courante qu’on utilise de plus en plus fréquemment en vieillissant ou simplement lorsqu’on décide d’innover. Et même si c’est bien vrai que certaines choses changent, d’autres demeurent immuables, peu importe que ce statu quo soit bon ou mauvais. Je dois dire que cela ne cesse de m’étonner. Voici un cas classique !